Dernièrement ma grande tante est partie de l’autre côté. Elle était âgée, 93 ans, elle s’est éteinte de vieillesse et c’est bien normal à son âge.
Je me sentais particulièrement proche d’elle, car elle était la seule séparée de son mari dans ma famille, comme moi à l’époque. C’était une créative, fleuriste, qui m’a enseignée tout l’art de la déco, pour ceux et celles qui me connaissent, cela me tient particulièrement à cœur dans mon institut.
Un retour à Soi...par Laure Fontaine
Juste...ma vision du monde...
dimanche 20 décembre 2020
La vie ! Etre … ici ou ailleurs…
jeudi 29 octobre 2020
Halloween : De l'Ombre à la Lumière. On ne voit bien qu'avec le cœur ...
Les ténèbres peuvent être assimilées symboliquement à
l’ignorance et à l’inverse, la lumière peut évoquer la connaissance. Mais quoi
qu'il en soit, l'un n'existe pas sans l'autre :
- Lune et Soleil,
- Noir et Blanc,
- Force et Beauté,
- Sud et Nord,
- Midi et Minuit,
- Masculin et Féminin,
- Ordre et Chao…
Et la liste n'est pas exhaustive…
Dès lors, pourquoi ne pas considérer l’ombre comme la voie
médiane qui atténuerait l’opposition fondamentale entre Ténèbres et Lumière ?
Ainsi, le chemin de l’ombre serait celui qui nous ferait passer des ténèbres à
la lumière…
La nuit d'Halloween peut représenter symboliquement ce
chemin. C’est la nuit qui va vers la Toussaint, la fête de tous les saints,
ceux qui sont dans la lumière ! Le passage de l'ombre à la lumière.
L’ombre peut donc être le chemin le plus rapide pour tendre vers la lumière. Encore faut-il apprivoiser celle-ci afin de se repérer le plus rapidement possible sur la voie initiatique et ne pas s’y perdre... Encore faut-il être capable de regarder son ombre en face, tout comme Luke Sky Walker rencontre son ombre, qu'il soupçonne être Dark Vador et qui s'avère être lui même. (Star Wars V)
Tout
au long de mon parcours, je me suis inspirée des personnes que je pressentais
comme les plus éclairées, guides spirituels, chamans, thérapeutes, coachs...
afin d’essayer, non sans difficultés d’ailleurs, de leur emboiter le pas sur la
voie initiatique… Seulement, au stade où j'en suis maintenant, je pense que
nous devons chercher aussi et surtout par nous-mêmes. Ceci pour déceler la vraie
richesse que nous avons en nous. Ce chemin initiatique ne menant nulle part
ailleurs qu’à notre propre réalisation humaine. Autrement dit, la seule
voie initiatique qui vaille est sa propre voie et ainsi sa propre vérité.
Mais prenons garde, car la voie initiatique et l'apprivoisement de l'ombre est un chemin long, tortueux et parsemé d’embuches… Il faut s’y engager avec prudence, mais détermination, car on a vite fait de s’y égarer. L'égo guette à tout instant ... Une autre observation que j’ai faite est que les personnes les plus éclairées que j’ai rencontrées, agissaient dans l’ombre car elles sont souvent très humbles et très aimantes (Cf AMMA https://fr.wikipedia.org/wiki/Mata_Amritanandamayi). Il faut se méfier des apparences, et il n'y a que l’usage du langage du cœur qui compte de mon point de vue.
L’amour permet d’entretenir à l’intérieur de soi la lumière
initiatique qui, par irradiation, permet aux autres d’éclairer leur propre
conscience, et de voir clair en eux-mêmes. Ceci n'est que mon expérience
intime…
Sur le chemin on ne passe pas de l’ombre à une lumière
absolue, mais à un jeu d’ombres et lumière maitrisé. Je pense que l’ombre est absolument nécessaire à la mise en exergue de la
lumière, la lumière ne peut apparaitre que dans l'ombre, on peut donc dire qu'elle favorise le discernement et donne du relief à notre vie non éclairée.
Malgré mes 50 ans, je ne sais pas si je suis plus éclairée
qu’auparavant. Néanmoins, la voie initiatique a fait ressortir en moi le sens
de la clairvoyance, ce qui m’a aidé à m’acclimater et apprivoiser l’ombre qui
m’entoure et qui continuera de m’entourer. Quant à la part d’ombre que j’ai en
moi, elle est le reflet de mon ignorance, et je ne l’ai pas supprimée.
J'ai appris à l’accepter et à vivre avec, à la voir à chaque instant. Ce chemin a révélé en moi une
aptitude à discerner ce qui est du ressort de la conscience qui m’appartient,
que je contrôle et que j’essaie d’améliorer, de ce qui résulte de mon
inconscient qui ne m’appartient pas, que je ne contrôle pas, mais que je peux
borner.
Maintenant la seule chose que je sais, c’est que, comme le
disait Saint EXUPERY : « On ne voit vraiment bien qu’avec le cœur car
l’essentiel est invisible pour nos yeux », autrement dit, le regard que je
porte avec mon cœur me permet de voir infiniment plus de choses que ce
m’autorisent mes yeux …
Puissiez-vous vivre un magnifique passage de l'ombre à la
lumière ce week-end de Toussaint, mais bien plus loin, le cap 2020/2021, car
nous y sommes... ça va tanguer pour mieux passer... Accrochez-vous à votre
lumière intérieure !
Avec le cœur.
Un retour à soi…
jeudi 17 septembre 2020
Thérapeute ou "Thérapute"...?
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Photo by Marco Bianchetti on Unsplash |
Dans cet article, j'avais envie de partager avec vous ma vision du thérapeute et non du "thérapute" ...!
Quel est le rôle du thérapeute de mon point de vue :
Une posture à tenir ?
Une confiance à gagner ?
Etre un guide ?
C’est la richesse d’une nouvelle relation qui se construit en dehors de
toutes autres relations.
C’est une confiance qui s’instaure peu à peu. En tout cas c’est certainement une responsabilité, un véritable engagement, le mesurons nous lorsque nous sommes à cette place ? Je n’en suis pas certaine. En tout cas, pas tous, toutes...
Pour moi le thérapeute aide son patient à grandir, en le soutenant, en
l’écoutant pour qu’il puisse aussi trouver sa place et qui il est dans ce
monde. Ce peut être un vrai chemin de partages, d’échanges, de complicité, de
conseils.
Le/la thérapeut(e) doit être présent(e) pour guider son patient, être discret(e) pour lui permettre d’avancer sans le gêner. Le patient doit compter sur son thérapeute, pouvoir lui confier ses doutes, ses interrogations ou ses désaccords, dans des moments pas simples à vivre, pas simples à résoudre.
Pareillement à l'adulte qui veille aux premiers pas de l’enfant, le thérapeute est derrière le patient, ce qui est rassurant dans un univers inconnu de travail sur soi, mais qui signifie aussi que le patient peut toujours regarder devant soi, qu’il y a un horizon qui s’offre à lui, en toute liberté de choix et d'action.
Dans cette relation il s’agit bien de co-construire ; je ne peux pas
devenir une patiente si le thérapeute ne devient pas le thérapeute et il ne
devient pas le thérapeute si je ne deviens pas sa patiente. Peut être ne
s’agit-il pas d’être, mais de devenir ensemble et séparément car le thérapeute
et le patient forment une équipe qui n’occupe pas la même place mais qui
tracent ensemble et séparément un chemin. Un chemin parfois plein d’inquiétude,
parfois paisible où il est bon d’échanger, de dire ce qui va, ce qui ne va pas,
ce qui interroge et ce qui interpelle. Un chemin où l'un et l'autre apprennent
qui ils sont vraiment, en toute honnêteté, de soi à soi.
Un retour à soi…
mardi 23 juin 2020
Nous vibrons le masque… nous portons le masque…quand décidons-nous de l'enlever ?
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Photo de Enzo B sur Unsplash |
J’ai écrit ce texte en 2013 à la suite d’un séminaire que j’avais fait avec le chaman que je suivais à l’époque. En parcourant les textes que j’avais sur mon blog je me suis rendue compte que celui-ci était encore d’actualité ! C’est dingue comme la vie n’est que cycles… Déjà, à l’époque il nous parlait de masques. Les masques que l’on se met sur notre essence, sur qui nous sommes, pour plaire et être aimés. Les temps n’ont pas beaucoup changé finalement, et nous avons tellement vibré cela que nous portons les masques en vrai maintenant ! Quand redeviendrons-nous ce que nous sommes ? Quand n’aurons-nous plus cette peur de ne pas être aimé ou de ne pas être à la hauteur ? Que faudra-t-il encore pour que nous comprenions ? Je m’interroge vraiment et cela me met dans un état pas cool du tout. Ce n’est pas faute de se remettre en question et d’aider nos client(e)s, ici à La Maison du Soin, à avoir une autre vision du monde. Mais, au final, en sommes-nous capables ?
Le monde change ? Ma première cliente à 8H30 me raconte : elle travaille chez Bouygues, panne vendredi et samedi, des travaux ont coupé les câbles sur le réseau... En arrivant travailler, une queue de plus de 70 personnes jusqu'à dehors sur le parking. Elle s'est faite insultée toute la journée et ce, pendant 2 jours parce qu’il n'y avait plus d'internet. Chacun y allant de sa priorité, de la finale de Kho Lanta, en passant par les dessins animés des enfants, le télétravail le samedi... ETC... Elle n'a pas pris de pause pendant 2 jours pour gérer tout cela, c'est mon travail me dit-elle... Toute souriante, et pimpante...C'est quelqu'un de très joyeux ! où allons-nous ? où marchons nous ? Que décidons nous ? ... Moi j'ai juste appris que mon TPE gardait les cartes en mémoires et que je pouvais le brancher sur une autre box ! Cool !!! Voir le verre plein !
Voilà l’extrait des enseignements d’Emaho à l’époque :
" Voilà d'où vient la corruption de l'enfant : je fais des masques de plus en plus. Je deviens intelligent pour ne pas être tapé ou abandonné. Je fais des développements de stratégies pour ne pas être tué. Par contre, le masque de rire je ne peux pas le retenir. Je me demande de quoi j'ai l'air quand je ris. Il y a tellement de masques sur le mur. Mais quel est le vrai visage ? J'ai mis un masque qui faisait que les autres étaient heureux. Un masque pour ne pas décevoir un autre être humain. Puis dans le fond qui suis-je ? J'ai trouvé mon visage en nettoyant le sol par terre, en allant me promener j'ai su que le soleil me connaissait. C'est à travers l'art du travail. Apprenez à connaître votre visage. Votre visage dans la lune, les arbres et le vent. Vous êtes tout seul avec vous même sur cette planète. Peu importe combien de personnes vous aime. C'est un profond silence. Il s'agit de comprendre la solitude de cette société. Le soleil et les planètes sont seuls. Et cela va vous apprendre vous-même. Nous avons de la chance de voir des milliers de visage mais cela ne nous rend pas plus heureux. Les livres avec des clés ne vous rendent pas plus heureux non plus. Les peintures sculptures avec des visages qui souffrent non plus. Vous êtes la formule en elle-même. En soi. Ce sont vos os. Soyez gentil avec ce mental qui est le vôtre. Il est juste comme un enfant. Si vous jouez des jeux avec votre mental, il jouera des jeux avec vous. Apprenez à votre mental à être intelligent avec les autres et votre mental sera intelligent avec vous." Emaho
Avec amour et gratitude, pour ce que cette situation nous enseigne. Simplement être nous-mêmes, et lâcher-prise, l’univers s’occupe du reste.
lundi 13 avril 2020
Du fond des ténèbres... jaillit la lumière !
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Photo de Joshua Sortino sur Unsplash |
Résumé de l'allégorie :Socrate imagine des êtres enchaînés dans une caverne de manière à ne pouvoir voir que le fond de celle-ci. Ils ont toujours vécu ainsi et n’ont jamais perçu de ce qui se passe plus haut, près de l’entrée, que des ombres projetées et des bruits renvoyés par le mur situé au fond. Et pour eux la « réalité », ou plus exactement leur conscience de la réalité, se réduit à ces ombres bougeant sur le mur et des bruits qui les accompagnent.
Le personnage de Socrate imagine ensuite que l’un des prisonniers est arraché à sa captivité pour être amené à la surface. Celui-ci commence par se sentir « agressé » par ce nouveau milieu dont il ne peut immédiatement percevoir les éléments du fait d‘une trop forte clarté. Il s’y accoutume ensuite, et prend conscience du soleil des saisons et des choses. Et s’étant habitué à cette nouvelle perception « plus juste », il comprend mieux ce qu’il voyait en captivité. Il n’envie plus son univers souterrain et le système de distinction de ses anciens compagnons, honorant le plus habile ou le plus vif à saisir ou à prévoir le passage des ombres. Il préférera un petit rôle dans ce nouveau milieu, plutôt que de retourner « à ses anciennes illusions ». Et s’il y revenait, d’abord déshabitué de l’obscurité, ses compagnons penseraient que sa vue s’est dégradée, et qu’il ne faut surtout pas sortir…
Om asatoma sad gamaya, Conduis-moi du Mensonge à la Vérité
Tamaso ma jyotirgamaya, Conduis-moi de l'ombre vers la lumière
Mrityorma amritam gamaya, Conduis-moi de la mort à l'immortalité
Voilà le Synopsis :
Après trois ans, trois mois et trois jours de réclusion volontaire dans un ermitage perdu du Ladakh, une région reculée au Nord de l'Inde, Tashi émerge d'une transe profonde. Il récupère ses forces vitales dans le monastère bouddhiste où il vit depuis l'âge de cinq ans. De retour auprès de ses compagnons lamas, il est soudain en proie à de dérangeantes pulsions sexuelles.
Au cours d'une expédition dans un village voisin, il fait la connaissance de Pema, une jeune femme dont il tombe amoureux. Des doutes l'assaillent et ébranlent son engagement spirituel. Apo, le moine doyen, décide alors de l'envoyer dans un ermitage où des textes tantriques l'initieront aux mystères de la vie sexuelle. Tashi comprend qu'il doit vivre certaines expériences s'il veut un jour y renoncer. Il choisit de quitter le monastère et de rejoindre le monde des hommes, le Samsara.
mercredi 19 février 2020
Du rôle primordial des mots...
Mon expérience avec une secte....
Quelle idiote je fais !
Que ses intentions n’étaient pas aussi louables qu’elle avait bien voulu me dire.
Lettre à celle qui m’a trahie,
« Tu avais le choix de ne pas me faire peur et de me respecter dans mes croyances et dans mon intégrité.
jeudi 16 janvier 2020
DE L’ART DU RITUEL à La Maison du Soin …
Nos vies sont empreintes de rituels de toutes sortes… Le rituel est un moment de passage, d’un état à un autre. De façon ancestrale, il nous relie au passé et nous projette dans l’avenir.
Personnellement, j’ai déjà vécu beaucoup de rituels initiatiques, la danse du feu dans le chamanisme, la marche sur le feu, la hutte de sudation, l’initiation au mantra d’Amma et du Dalai Lama, et d’autres encore… Ces rituels m’ont fait passer des caps dans ma vie, m’ont donné une vision du monde plus élargie et une capacité à voir le monde autrement. Ils m’ont également enseigné que l’on démarre petit, ignorant, et que l’on grandit progressivement au fur et à mesure du rituel, sur la connaissance de soi et de l’endroit où l’on se trouve par rapport à celle-ci. Et qu’en même temps, au final, avec ou sans rituel, on apprend chaque jour et tout au long de son existence. La vie est ainsi faite… Le rituel est un outil d’intégration.
Qu’est-ce qu’un rituel ?
Nous avons tous nos rituels, individuels ou collectifs, qui sont plus ou moins espacés dans le temps et dans l’espace.
Ces rituels sont constitués par des rites, c’est-à-dire un ensemble de règles immuables, fixant le déroulement d’une cérémonie, qu’elle soit publique, donc exotérique ou secrète voir discrète, donc ésotérique.
En ce qui concerne les rituels individuels, il nous suffit de penser à nos habitudes tels que la méditation, la prière, la réflexion ou à des habitudes moins spirituelles tels que l’heure systématique de la pause-café, de la douche et de l’horaire du train…
Ces rituels ont la particularité de nous permettre de nous rassurer et de nous plonger dans notre moi intérieur pour établir un bilan. Ce bilan est simplement un point de repère quotidien sur notre équilibre familial, notre situation émotionnelle, notre performance au travail ou sur notre état corporel.
D’autres rites règlent notre vie sociale. Pour ceux-ci nous avons besoin de la participation des autres. En effet, et bien que cela soit possible, on imagine mal un anniversaire ou un réveillon en “ solitaire ”, un mariage, un enterrement, et ceux-ci aussi sont des moments de passage mais en groupe.
Les rituels individuels sont espacés dans le temps en fonction de nos besoins et les rituels collectifs en fonction des règles bien établies par le groupe. En conséquence ils peuvent être quotidiens, hebdomadaires, mensuels, annuels etc.
A quoi servent donc ces rituels, quel en est le sens ?
Dans tous ces rituels, l’individu ne serait-il pas au service de lui-même ou du groupe ? Ou de la personne avec qui il partage le rituel ? Le groupe peut établir des règles qui sont justes pour tous les membres du groupe, (accords de groupe en communication non violente par exemple, en début de session), et chaque membre doit s’y référer. Si chaque membre se réfère aux règles du groupe, ce membre est en harmonie avec ce groupe. L’individu peut aussi établir des règles pour lui-même, qui sont justes pour lui et s’y tenir de la même façon (en état de méditation par exemple).
C’est une boucle simple et efficace, en effet “ il suffit de suivre les flèches ” pour soi-même ou avec les autres.
On pourrait donc considérer que le rituel est un point de repère, un processus qui vise à sécuriser, ainsi qu’un véhicule initiatique qui nous conduit sur le chemin de la recherche d’une vérité, et qui ancre la chose vécue dans la mémoire collective ou individuelle.
Ce peut être un outil avec lequel chaque personne peut travailler intuitivement, au moyen de ses cinq sens, ceci dans le but d’éveiller et de développer sa conscience individuelle et celle des autres, comme dans le rituel du massage et du soin énergétique.
Le rituel nous incite à l’état de partage, nous permettant ainsi de nous éveiller à une évolution permanente de l’esprit et du cœur. C’est un lien entre le visible et l’invisible, un lien Universel entre le Microcosme (l’Homme) et le Macrocosme (l’Univers).
Tous les soins de La Maison du Soin sont des rituels. Ils tirent leur puissance d'un aspect spiritualisé, d'un accueil de l'autre, homme ou femme dans leur entièreté, par le toucher, ainsi que d'une communion dans le souffle et de la présence authentique et ancrée du thérapeute dans le soin. Un rituel, une méditation, pour aboutir à un changement, d’état ou de vision du monde.
Ces rituels éveillent les sens et invitent à lâcher-prise. Ils peuvent favoriser également l'émergence d'émotions et sensations en augmentant le niveau de conscience. Ils peuvent amener à une expansion de conscience et à un état intérieur transformé. Une véritable sensation d'unité, de reconnexion ... un retour à soi, un retour à l’essentiel.
La vie ! Etre … ici ou ailleurs…
Dernièrement ma grande tante est partie de l’autre côté. Elle était âgée, 93 ans, elle s’est éteinte de vieillesse et c’est bien normal à so...

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Photo de Joshua Sortino sur Unsplash On pourrait croire que j'ai le temps d'écrire, puisqu'en arrêt total d'activité...
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